Bonjour à vous,
Pour ma part je vais ajouter un autre épisode à mon précédent témoignage qui etait un poil HS mais je que je jugeais nécessaire de partager.
On va dire que de mes 21 à mes 28 ans, j'étais un gros cconsommateur de
Hash. Je fumais 3 à 5
joint tous les jours. Sur la fin, lorsque je suis entré dans la vie active, vers mes 25 ans, je me contentais alors que de deux
joint de H. A cela a commencé à s'ajouter une consommation d'
alcool en mode assomoir. Casser le stress des durs journées de labeur afin d'éteindre un cerveau qui ne voulait pas abdiquer lorsque je devais aller au lit.
Résultat, "nervous break down", puis licenciement. Donc direction mon médecin de famille pour en parler et voir comment faire pour résoudre cela:
Il faut savoir que niveau antécédent j'avais été suivi et traité du VHC, entre mes 19 et 21 ans. Période assez dure à vivre et connu de mon médecin de famille.
Une fois dans son cabinet, je lui expose ma problématique et aussi mes consommations privées. J'ai observé un changement consubstantiel dans l'appréciation de ma personne. Dès lors mes propos n'étaient plus, de son pov de vue, cohérent, une défiance envers moi et mes demandes grandissait peu à peu.
Au point que, vers mes 31 ans, alors que j'étais abstinent de tous (tabac,
alcool,
cannabis), j'ai ressenti des crises de douleurs situées au niveau de l'estomac et du dos, crises brèves mais relativement intense.
Ainsi, j'ai;
- Dans un premier temps, fais des recherches sur internet en vue d'un auto-disagnostique. Je me suis rendu à l'évidence que j'avais des calculs billiares (colique hépatique)
- Dans un second temps, je suis allez revoir mon médecin de famille lui expliquant les symptômes et lui demandant de me prescrire une échographie de ma vésicule billiare.
Ca réponse ma contrarié:
"Mr XY, je pense que c'est dans votre tête que tout cela se passe"
Ce à quoi j'ai répondu:
"Ce qui se passe dans ma tête c'est mon affaire, je vous prie de me faire cette ordonnance, et nous verrons bien où se situe le problème"
Elle me sourit et me répondit:
"Très bien, faîtes donc cette analyse et on en reparlera"
Résultat:
J'avais bien une vésicule en mauvaise état, elle était pleine de cailloux noir. Impliquant qu'une cholécystectomie devait être partiquée au plus vite, sinon je pouvais risquer d'importante complication. Elle céda non sans malaise, et m'orienta, merci à elle, vers un spécialiste en clinique privé, pratiquant ce type d'intervention avec une grande maîtrise. Moins d'un mois après me voilà avec un nouveau nombril et sans vésicule biliare. Deux semaines après je reprennais le sport (contre l'avis du chirugien, bon là c'est moi qui déconnais), les douleurs avaient totalement disparût. Aujourd'hui, je vis parfaitement sans vésicule billiare avec aucun effet secondaire.
Depuis lors, mes relations avec mon médecin de famille se sont définitivement dégradé au point, qu'elle me refusa fin 2012 comme patient.
Dernière modification par zuzu (23 avril 2024 à 22:16)